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Comment devrait-être le futur maire d’une ville moyenne ?
(ceci n'est pas un programme politique mais une réflexion des Vincents par rapport aux dénis des élus et le sentiment des administrés de vivre dans l'illusion de l'abondance des énergies et des matières premières).
Ses choix présents conditionnent l’avenir.
Au-delà de toute étiquette de parti, les clefs de la ville ne peuvent être confiées à des amateurs, sans programme cohérent pour l’avenir de sa ville et de son territoire.
Il devra utiliser son expérience, son intelligence, pour faire émerger un programme cohérent face à la crise actuelle ressenti jusqu’aux portes de sa ville.
Il devra donner un programme qui donne des idées conductrices cohérentes avec les problèmes actuels (chômage, insécurité, crise énergétique, mal-être). Ces problèmes ne peuvent être traités de manière simpliste, elles impliqueront tous les acteurs (les industriels, les scientifiques, les économistes, les acteurs socio-économiques, les représentants d’association).
L’industrie aura besoin de travailler de manière plus cohérente avec la société.
L’urbanisme devra intégrer le sentiment de sécurité et de bien-être.
L’humanisme devra toujours être au centre des préoccupations, que ce soit l’emploi, le transport, l’éducation, l’industrialisation, le commerce, les loisirs.
Un projet humaniste implique que chaque sujet à traiter ne peut plus être pris indépendamment des autres.
Le développement du commerce ne peut pas être séparé du commerce de proximité et de celui de la grande distribution. Les 2 peuvent être complémentaires de manière à créer le plus d’emploi possible.
Le développement du transport collectif ne peut faire abstraction du transport individuel nécessaire à l’attractivité pour l’utilisation de loisirs et commerces des non-résidents. Des solutions existent de manière à minimiser l’impact d’une trop grande concentration de véhicules. La première nuisance est celle de la place de stationnement propre à chaque ville centre d’agglomération.
Tout nouveau projet rallongeant le déplacement en mode doux est un mauvais projet.
La ville est l’endroit où la vie existe, la vie associative, la vie culturelle, la vie sportive, la vie industrielle, la vie familiale, la vie commerciale, la vie tout court. Un hyper-centre ne peut exister si la voiture prend toute la place. A l’exemple de nombreuses villes modernes, où aucun véhicule ne peut stationner en son sein.
Le stationnement ne doit pas être un problème, ni pour l’usager de la voiture, ni pour les piétons. A l’exemple de villes moyennes néerlandaises ou de villes allemandes de même taille, des constructions de Parkhaus (parking à étage qu’on trouve autour de l’hypercentre dans les villes allemandes) en périphérie de l’hyper-centre permettent de libérer totalement l’hyper-centre à la circulation automobile permettant d’attirer de plus en plus de touristes et promeneurs sans les empêcher de se garer, et en leur permettant de trouver une place facilement dans des Parkhaus. Cette solution répond à un besoin de stationnement des non-résidents comme utilisateur du train. Le transport multimodal se développera de plus en plus. De plus cela évite de surcharger l’hyper-centre en stationnement, ce serait contre-productif à la fois pour la qualité de vie, et le bien-être en hyper-centre.
Une ville-centre est faite pour les résidents mais aussi pour les résidents des petites communes limitrophes.
Les modèles d’avenir montrent que les villes moyennes ont toute leur place face aux enjeux futurs. La ville doit permettre aux entreprises innovantes de s’installer. Ces entreprises qui ont des craintes pour l’avenir doivent être accompagnées. Tout projet de nouvelles implantations devra être sérieusement pour intégrer la participation active à l’économie circulaire de manière à minimiser les impacts environnementaux, les consommations d’énergie, de manière à maximiser la compétitivité, le partage de ressources (intellectuelles, matières premières, énergie, déchets) à l’image des éco-parcs industrielles.
Des solutions existent pour que leur activité perdure par leur capacité d’innover, de travailler en synergie avec d’autres acteurs économiques, par de solutions de partenariats pour un fonctionnement en symbiose avec leur environnement.
L’urbanisme devra intégrer le déplacement en mode doux. Celui-ci ne peut pas se développer si les architectes ne prévoient pas de box pour le vélo. Ainsi cet exemple montre qu’un projet n’a pas de cohérence s’il n’est pas travailler en symbiose avec d’autres acteurs. Nous insistons sur l’importance d’une celle, d’un institut du cercle vertueux.
L’attractivité ne peut se faire sans intégrer les multi-dimensions du problème.
Confier les clefs de la ville à une personne, n’est pas qu’un simple emploi intérimaire de quelques années, c’est bien plus que cela. Nous souhaitons au futur locataire de réussir à faire travailler en symbiose toutes les entités qui composent la ville.
(ceci n'est pas un programme politique mais une réflexion des Vincents par rapport aux dénis des élus et le sentiment des administrés de vivre dans l'illusion de l'abondance des énergies et des matières premières).
Ses choix présents conditionnent l’avenir.
Au-delà de toute étiquette de parti, les clefs de la ville ne peuvent être confiées à des amateurs, sans programme cohérent pour l’avenir de sa ville et de son territoire.
Il devra utiliser son expérience, son intelligence, pour faire émerger un programme cohérent face à la crise actuelle ressenti jusqu’aux portes de sa ville.
Il devra donner un programme qui donne des idées conductrices cohérentes avec les problèmes actuels (chômage, insécurité, crise énergétique, mal-être). Ces problèmes ne peuvent être traités de manière simpliste, elles impliqueront tous les acteurs (les industriels, les scientifiques, les économistes, les acteurs socio-économiques, les représentants d’association).
L’industrie aura besoin de travailler de manière plus cohérente avec la société.
L’urbanisme devra intégrer le sentiment de sécurité et de bien-être.
L’humanisme devra toujours être au centre des préoccupations, que ce soit l’emploi, le transport, l’éducation, l’industrialisation, le commerce, les loisirs.
Un projet humaniste implique que chaque sujet à traiter ne peut plus être pris indépendamment des autres.
Le développement du commerce ne peut pas être séparé du commerce de proximité et de celui de la grande distribution. Les 2 peuvent être complémentaires de manière à créer le plus d’emploi possible.
Le développement du transport collectif ne peut faire abstraction du transport individuel nécessaire à l’attractivité pour l’utilisation de loisirs et commerces des non-résidents. Des solutions existent de manière à minimiser l’impact d’une trop grande concentration de véhicules. La première nuisance est celle de la place de stationnement propre à chaque ville centre d’agglomération.
Tout nouveau projet rallongeant le déplacement en mode doux est un mauvais projet.
La ville est l’endroit où la vie existe, la vie associative, la vie culturelle, la vie sportive, la vie industrielle, la vie familiale, la vie commerciale, la vie tout court. Un hyper-centre ne peut exister si la voiture prend toute la place. A l’exemple de nombreuses villes modernes, où aucun véhicule ne peut stationner en son sein.
Le stationnement ne doit pas être un problème, ni pour l’usager de la voiture, ni pour les piétons. A l’exemple de villes moyennes néerlandaises ou de villes allemandes de même taille, des constructions de Parkhaus (parking à étage qu’on trouve autour de l’hypercentre dans les villes allemandes) en périphérie de l’hyper-centre permettent de libérer totalement l’hyper-centre à la circulation automobile permettant d’attirer de plus en plus de touristes et promeneurs sans les empêcher de se garer, et en leur permettant de trouver une place facilement dans des Parkhaus. Cette solution répond à un besoin de stationnement des non-résidents comme utilisateur du train. Le transport multimodal se développera de plus en plus. De plus cela évite de surcharger l’hyper-centre en stationnement, ce serait contre-productif à la fois pour la qualité de vie, et le bien-être en hyper-centre.
Une ville-centre est faite pour les résidents mais aussi pour les résidents des petites communes limitrophes.
Les modèles d’avenir montrent que les villes moyennes ont toute leur place face aux enjeux futurs. La ville doit permettre aux entreprises innovantes de s’installer. Ces entreprises qui ont des craintes pour l’avenir doivent être accompagnées. Tout projet de nouvelles implantations devra être sérieusement pour intégrer la participation active à l’économie circulaire de manière à minimiser les impacts environnementaux, les consommations d’énergie, de manière à maximiser la compétitivité, le partage de ressources (intellectuelles, matières premières, énergie, déchets) à l’image des éco-parcs industrielles.
Des solutions existent pour que leur activité perdure par leur capacité d’innover, de travailler en synergie avec d’autres acteurs économiques, par de solutions de partenariats pour un fonctionnement en symbiose avec leur environnement.
L’urbanisme devra intégrer le déplacement en mode doux. Celui-ci ne peut pas se développer si les architectes ne prévoient pas de box pour le vélo. Ainsi cet exemple montre qu’un projet n’a pas de cohérence s’il n’est pas travailler en symbiose avec d’autres acteurs. Nous insistons sur l’importance d’une celle, d’un institut du cercle vertueux.
L’attractivité ne peut se faire sans intégrer les multi-dimensions du problème.
Confier les clefs de la ville à une personne, n’est pas qu’un simple emploi intérimaire de quelques années, c’est bien plus que cela. Nous souhaitons au futur locataire de réussir à faire travailler en symbiose toutes les entités qui composent la ville.